• Titre: L'écorchée

    Auteur: Donato Carrisi

    Editions: Le livre de poche

    Nombre de pages: 515

    ISBN: 978-2-2531-7912-2

    L'écorchée de Donato Carrisi

    Sept ans après s'être mesurée au Chuchoteur, Mila Vasquez travaille aux Limbes, le département des personnes disparues. Incapable d'éprouver la moindre émotion et portant dans sa chair la marque des ténèbres, Mila excelle dans la recherche de ceux qui, un jour, se sont évanouis dans la nature. Elle seule ne peut oublier ces "victimes potentielles d'homicides". Soudain, l'un deux réapparaît… et tue. Un à un, ceux dont les portraits ornent les murs des Limbes, reviennent, transformés en assassins. Epaulée par l'agent spécial Simon Berish, expert en interrogatoires et féru d'anthropologie, Mila devra échafauder une hypothèse convaincante, solide, rationnelle. Une "hypothèse du mal".

     

    Il s'agit de la suite du Chuchoteur de Donato Carrisi, thriller que j'ai adoré de par la psychologie mise en place et les thèmes abordés. Cette suite est dans la même lignée que le premier.

    En effet, on y retrouve la même dynamique même si je trouve celui-ci plus abouti. J'ai l'impression que l'auteur a bien mieux ficelé son histoire. On retrouve donc Mila, sept ans après son histoire avec le Chuchoteur, femme toujours meurtrie par son passé. Dans cette opus, elle m'a semblé plus fragile, ceci certainement expliqué par le fait qu'elle est à présent maman. Je ne me suis pas du tout ennuyée, d'ailleurs j'étais en train de tomber dans une panne de lecture et ce livre m'a redonné l'envie de me plonger dans un livre. Il me semble que c'est un assez bon indice pour déterminer si un livre est bon ou pas.

    Même si les thèmes abordés dans cette suite ne sont pas vraiment les mêmes que dans le premier, ils sont très intéressants et l'auteur est plutôt talentueux pour décrire l'aspect psychologique des personnages. On ne sait jamais qui est bon et qui est mauvais, et j'ai eu des doutes sur à peu près tout le monde. J'avais deux théories et elles se sont en partie avérées. 

    De plus, j'aime particulièrement le style de l'auteur car l'écriture est assez fluide mais en même temps, elle est très efficace. J'ai l'impression que chaque mot est réfléchi et calibré afin de nous emmener là où il le souhaite. Et ça marche vraiment bien avec moi.

    Enfin, j'ai particulièrement apprécié l'agent spécial Simon Berish que je considère comme LE personnage principal de ce roman. Il est intéressant car son statut de paria dans la police pause une ombre sur ce personnage et on ne sait pas vraiment comment se positionner vis à vis de lui. En tout cas pendant une bonne partie de l'histoire. Mila, quant à elle, est toujours un personnage que j'apprécie car elle est humaine et contrastée.

    Au vu de la fin creepy, j'ai hâte de lire la suite et de retrouver Mila. Donato Carrisi est un auteur que je vais suivre assidument. 

     

    XOXO

     

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  • Titre: La part des ombres tome 1

    Auteur: Gabriel Katz

    Editions: Scrineo

    Nombre de pages: 317

    ISBN: 978-2-3674-0443-1

    La part des ombres tome 1 de Gabriel Katz

    Jadis une terre de conquérants, la Goranie n'est plus aujourd'hui qu'un pays occupé, avec à sa tête un roi fantoche. Depuis dix ans, les Traceurs, peuple guerrier descendu des montagnes, font régner la discipline, le terreur et la corruption.

    L'ordre est ainsi maintenu, jusqu'au jour où tout bascule. Un homme qui se fait appeler le Fantôme se dit revenu d'entre les morts pour libérer le peuple… Mais il a besoin de mercenaires de haut niveau capables d'encadrer et de former les combattants contre les terribles guerriers de la Trace...

    C'est ainsi qu'entrent en scène trois personnages venus des quatre coins du monde: une maîtresse de guerre, un gladiateur de haute volée et… un beau gosse qui ne sait pas très bien comment il s'est fait entraîner là-dedans.

     

    Quel plaisir de retrouver la plume de Gabriel Katz! D'autant plus qu'il a eu la bonne idée d'intégrer dans cette saga des personnages de ses autres sagas. J'ai d'ailleurs retrouvé MON personnage préféré! Vous l'aurez compris, on est dans le même univers que pour les autres romans et on se retrouve dans le pays de Goranie où le roi n'a plus aucun pouvoir. Ce dernier est possédé par Ag Slegeth, un Traceur. 

    Si vous connaissez l'auteur, vous n'êtes pas sans savoir que celui-ci n'a aucun scrupule à démarrer ses romans avec une tuerie bien sanglante. Ce livre n'échappe pas à la règle. Ainsi, on entre complètement dans l'histoire dès les premières pages. Même si je trouve la trame moins complexe que pour les autres sagas, l'histoire est néanmoins intéressante. Le suspense est présent tout au long de la lecture et on ne cesse de vouloir connaître la suite. 

    Je suis plus que ravie de retrouver mes personnages chouchous. Je ne vous dirai pas de qui il s'agit parce que cela fait partie du charme, je trouve. Par ailleurs, ils s'intègrent parfaitement dans cette nouvelle intrigue et chacun à un rôle bien défini. D'ailleurs, il est intéressant de voir comment ils interagissent entre eux.

    Ensuite, Gabriel Katz a l'art et la manière de vous happer en multipliant les cliffhangers de fin de chapitre. La lecture est fluide et prenante. D'autant plus qu'aucun personnage n'est épargné. On est immergé dans une histoire de pouvoir, de légende et de vengeance, des thèmes prépondérants dans les histoires de l'auteur. Mais il a une façon bien singulière de dérouler les choses qui font de son style quelque chose d'unique. 

    Encore et toujours je vous conseille cet auteur, qui est en train de devenir un de mes préférés.

     

    XOXO

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  • Titre: Adultère

    Auteur: Paulo Coelho

    Editions: Flammarion

    Nombre de pages: 312

    ISBN: 978-2-0813-3891-3

    Adultère de Paulo Coelho

    Linda a 31 ans et, aux yeux de tous, une vie parfaite: elle a un mari aimant, des enfants bien élevés, un métier gratifiant de journaliste et habite dans une magnifique propriété de Genève. Cependant, elle ne supporte plus de faire semblant d'être heureuse quand, en vérité, elle ne ressent rien d'autre qu'un sentiment grandissant d'apathie et d'indifférence. Jusqu'au jour où elle retrouve un ancien petit ami. Jacob est un homme politique de premier plan et, lors d'une interview, il éveille en elle un sentiment oublié depuis longtemps: la passion. Elle fera tout pour conquérir cet amour impossible et devra aller au plus profond d'elle-même pour enfin trouver le bonheur.

     

    Voici le troisième livre que je lis de cet auteur et j'ai plutôt été déçue. C'est un roman qui m'intriguait depuis plusieurs mois mais les avis mitigés me freinaient un peu. J'ai finalement eu envie de me faire mon propre avis, surtout que l'adultère n'est pas un thème que j'ai l'habitude de retrouver dans mes lectures.

    Tout d'abord, à mon avis, le titre n'est pas forcément bien choisi parce que le thème principal du roman est plutôt la dépression. Certes, Linda, le personnage principal, a une aventure extra-conjugale mais l'acte adultérin arrive assez loin dans l'histoire. Il permet une remise en question de Linda, qui se pose beaucoup de questions concernant son statut de femme, bien sous tout rapport.

    En parlant de Linda, je n'ai eu aucune empathie la concernant. Je ne suis pas arrivée à m'attacher à elle, et elle m'a même énervée à plusieurs reprises. Je ne comprenais tout simplement pas son raisonnement, contradictoire par moments. Par exemple, elle est assez au clair sur le fait qu'elle n'est pas amoureuse de son amant alors que, plus loin dans la lecture, elle nous parle d'amour. Je n'ai pas compris...

    En ce qui concerne le style, l'auteur a fait le choix d'introduire le dialogue en passant par son personnage principal, c'est à dire que Linda nous les relate, tout simplement. Je pense qu'il voulait que l'on soit exclusivement dans sa tête. Et bien ce procédé n'a pas fonctionné avec moi. J'étais encore plus déconnectée de l'histoire. Ce détachement fait que mon rythme de lecture était saccadé, je n'étais pas vraiment  intéressée par ce qu'il se passait. D'autant plus que le statut du personnage est à mille lieux du mien, ce qui accentuait ce sentiment de barrière entre elle et moi. Je n'ai tout simplement pas pu m'identifier et encore moins éprouvé de la compassion ou un quelconque sentiment à son égard. 

    Je pense être totalement passée à côté de cette lecture. Je n'ai certainement pas compris où voulait nous emmener Paulo Coelho. Ce n'est pas ce roman-là que je conseillerais, j'ai davantage apprécié L'Alchimiste.

     

    XOXO

         

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  • Titre: La couleur des sentimentsLa couleur des sentiments de Kathryn Stockett

    Auteure: Kathryn Stockett

    Editions: Babel

    Nombre de pages: 599

    ISBN: 978-2-3300-1307-3

    La couleur des sentiments de Kathryn Stockett

    Chez les Blancs de Jackson, Mississippi, ce sont les Noires qui font le ménage, la cuisine, et qui s'occupent des enfants. On est en 1962, les lois raciales font autorité. En quarante ans de service, Aibileen a appris à tenir sa langue. L'insolente Minny, sa meilleure amie, vient tout juste de se faire renvoyer. Si les choses s'enveniment, elle devra chercher du travail dans une autre ville. Peut-être même s'exiler dans un autre Etat, comme Constantine, qu'on n'a plus revue ici depuis que, pour des raisons inavouables, les Phelan l'ont congédiée.
    Mais Skeeter, la fille des Phelan, n'est pas comme les autres. De retour à Jackson au terme de ses études, elle s'acharne à découvrir pourquoi Constantine, qui l'a élevée avec amour pendant vingt-deux ans, est partie sans même laisser un mot. La jeune bourgeoise blanche et les deux bonnes noires, poussées par une sourde envie de changer les choses malgré la peur, vont unir leurs destins, et en grand secret écrire une histoire bouleversante.

     

     Voilà plus de cinq ans que ce livre est dans ma pile à lire. Et voilà plus de cinq ans que je pressens qu'il sera un coup de coeur. Et cela n'a pas loupé, c'est un véritable coup de coeur, littéralement. J'ai mis deux semaines à le lire, et ce fut deux semaines de lecture intense et immersive. Si j'ai mis autant de temps à le sortir de ma pal c'est parce qu'il est des livres qui vous font peur parce que vous savez qu'ils vous bouleverseront. Ce livre m'a bouleversée. 

    Tout d'abord, le sujet traité est un sujet assez fort puisque l'on découvre la situation des bonnes noires dans les années soixante, aux Etats-Unis, plus précisément à Jackson, dans le Mississipi. On suit alors le quotidien de trois femmes, deux bonnes, Aibileen et Minny, et Skeeter, une femme blanche, amie avec les patronnes des deux employées. Dans un premier temps, l'auteure se focalise presque exclusivement sur leur quotidien. Cela permet de cerner leur personnalité mais aussi tous les tenants et les aboutissants de l'histoire. On est donc plongé dans leur monde et l'écriture de l'auteure est telle que l'on est complètement immergé. J'ai d'autant plus apprécié que l'histoire se déroule entre 1962 et 1964. C'est anecdotique mais ma mère étant née en 1962, je trouvais intéressant de pouvoir imaginer un monde où elle était enfant. 

    J'ai adoré la façon dont Kathryn Stockett dépeint la personnalité des personnages. Elle passe d'un style à un autre, en fonction du personnage dont c'est le point de vue et elle le fait bien. Aibileen est attachante à souhait, elle me fait penser à ces grands-mères sages, qui ont tout connu et essaie de faire passer leur savoir mais de façon si belle. Sa relation avec la petite qu'elle garde, Mae Mobley, est magnifique. Minny, quant à elle, est certainement celle qui m'a fait ressentir le plus de choses. C'est un personnage fort car elle est caractérielle, elle ne peut s'empêcher de dire ce qu'elle pense, ce qui la met souvent dans des situations incertaines, mais en même temps, elle a des fêlures dont elle est consciente elle-même, et cela fait d'elle un personnage très contrasté et profond. Enfin, Skeeter est une jeune blanche qui se rend compte que la situation qu'ils vivent n'est pas normale et petit à petit, elle s'éloigne de ses amies, avec qui elle n'a, finalement, aucun intérêt commun. 

    Les personnages secondaires sont tout aussi intéressants puisqu'il y a Miss Hilly, cette blanche dont les seules préoccupations sont d'être une femme bien sous tout rapport et elle milite avec effervescence pour la séparation des droits entre les blancs et les noirs. Elle le fait de façon si sournoise et mesquine que ça en est effrayant. Nous avons ensuite Miss Leefolt, la patronne de Aibileen. C'est un personnage assez complexe, je trouve, parce qu'elle m'est apparue a priori exécrable mais j'ai eu l'impression que sa personnalité évoluait au fil des pages. J'avoue que c'est le personnage avec lequel je ne suis pas arrivée à me positionner. Et enfin, un personnage tout aussi important et intéressant, celui de Miss Célia, la nouvelle patronne de Minny. Elle détonne complètement par rapport aux autres femmes blanches et, finalement, c'est elle qui représente le mieux la passerelle entre les deux mondes représentés.

    Ma chronique ne fait pas justice à cette œuvre mais sachez que c'est un petit bijou. Si un jour vous décidez de le lire, sachez que c'est un livre qui se savoure. Bien sûr, il a des défauts, notamment le peu de place qui est accordé aux hommes, mais il est vaut son pesant d'or. 

    Bonne lecture et à bientôt!

     

    XOXO

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  • Titre: Amitiés mortelles

    Auteur: Ben Elton

    Editions: Le livre de Poche

    Nombre de pages: 444

    ISBN: 978-2-2531-2501-6

    Amitiés mortelles de Ben Elton

    Depuis quelque temps, une série de meurtres à caractère rituel terrorise les Londoniens. Le point commun des victimes : une fâcheuse tendance à persécuter leur entourage. Pour l'inspecteur Edward Newson, cette enquête revêt une importance particulière. Petit, rouquin, il est le plus jeune du service et se trouve régulièrement en butte aux moqueries et aux quolibets. Tandis que la liste des meurtres s'allonge, le tueur se rapproche étrangement des anciens copains de classe de Newson. Ce dernier plonge alors dans ses propres souvenirs - ceux de la promo 86 de l'école de Shalford. Peu à peu Newson exhume les secrets de ses anciens camarades... Les haines, les maltraitances et les souffrances dissimulées. Des collèges anglais aux mœurs impitoyables aux rues de Londres où rôde la mort, un roman noir brillant, doublé d'une critique corrosive et cinglante de la société britannique…

    Toujours sur ma lancée de lire des trillers, j'avais celui-ci dans ma pile à lire depuis quelques temps et je n'avais jamais lu de romans de cet auteur, alors c'était l'occasion de me plonger dedans.

    J'avoue que vous donner mon avis concernant ce livre est assez difficile car je suis incapable de dire si j'ai aimé ou pas. J'ai apprécié certaines et en ai détesté d'autres, alors disons que c'est une lecture en demi-teinte. 

    Tout d'abord, commençons par ce qui m'a plu. L'histoire en elle-même est très intéressante. On suit Newson et Natasha dans leur enquête concernant le meurtre d'un homme détesté dans son quartier mais aussi tout au long de sa vie. En effet, il était une personne cruelle qui a martyrisé ses camarades de classe lorsqu'il était adolescent et qui a continué en tant qu'adulte a violenter son entourage. Il a été tuer d'une façon très cruelle et les enquêteurs vont vite faire le lien avec d'autres meurtres non-élucidés. En parallèle, nous suivons la vie de Newson puisqu'il reprend contact avec des anciens camarades de classe via un site internet. Les alternances entre l'enquête et la vie de Newson ont permis de donner un rythme intéressant au roman. On ne s'ennuie jamais et la lecture est devenue plutôt addictive. Le style de l'auteur est intéressant même s'il ne sort pas vraiment de l'ordinaire.

    Par ailleurs, même si j'ai aimé le style de Ben Elton, il n'en reste pas moins que j'ai trouvé qu'il y avait des incohérences dans le récit. Par exemple, les enquêteurs trouvent des indices et au lieu d'aller rapidement chercher confirmation, ils attendent patiemment le lendemain. De plus, certaines personnes concernées par les meurtres ne sont pas nécessairement interrogées. Je trouve cela dommage car, finalement, on peut deviner rapidement où l'auteur veut nous mener. J'ai trouvé le coupable beaucoup trop rapidement à cause d'indices gros comme une maison.

    Ensuite, les comportements des personnages n'étaient pas vraiment réalistes. J'étais contente des choix faits par l'auteur concernant Newson. En effet, on n'est pas dans le cliché de l'enquêteur sûr de lui et je le trouvais de prime abord attachant. Mais ensuite, on se rend compte que ce personnage à un côté misogyne et superficiel. Il dit qu'il est amoureux de sa coéquipière mais ne fait que lorgner sur sa poitrine ou ses jambes. Au début, cela pouvait être drôle mais au final, dès que Natacha apparaissait dans le récit, nous avions le droit à ce genre de réflexion. C'était très agaçant.  

    Pour continuer sur ce personnage, on nous le présente comme un enquêteur exceptionnel et au final, il passe à côté de beaucoup de choses évidentes. Je ne suis pas spécialiste du monde de la police mais je ne suis pas sure qu'un enquêteur puisque continuer à être en charge d'une enquête alors même qu'il est le dernier à avoir vu la personne tuée et qu'il a eu des relations sexuelles avec le principal suspect. Malheureusement, cela m'a sortie de l'histoire puisque je n'y croyais plus. C'est dommage, parce que l'enquête avait du potentiel. 

    Dernier point sur ce personnage et ensuite je le laisse tranquille. Un personnage lui révèle avoir été maltraité par des camarades et la réaction de Newson est hallucinante, surtout pour quelqu'un qui fait parti di système judiciaire: il minimise l'événement et trouve des excuses à la coupable parce que, vous comprenez bien, elle est jolie et charismatique. J'étais outrée lors de ma lecture...

    Enfin, je ne m'attendais surtout pas à lire une scène d'urophilie. Elle est arrivée trop vite, sans crier gare, et, à mon sens, elle n'est pas bien traitée dans la suite de l'histoire. 

    Même si beaucoup de points négatifs sont apparus lors de ma lecture, l'histoire est somme toute intéressante, ce qui rattrape un peu mais pas complètement. Je ne saurais vous la conseiller si ce n'est pour vous en faire un avis, que je serais d'ailleurs curieuse d'avoir.

     

    XOXO

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